UN Artiste-peintre “entre Pop-Culture et Street Art”

Artiste-peintre autodidacte, Jérémy Deseure dit “BOULAZ” est né en 1985 à Croix dans le Nord .

Adolescent intéressé par l'image, et par les illustrations en particulier, il nourrit son imagination de films cultes et de musique qu’il découvre. C'est en 2011, suite à une perte tragique qu'il cherche une manière de retranscrire ses émotions.

Entouré d'artistes, il s’attelle à améliorer son trait, il apprend à observer un modèle (à en définir les zones d'ombres et de lumières notamment ). Il apprend tant aux côtés de ses amis qu'en s’entraînant seul sur ses carnets de croquis. 

BOULAZ réalise sa première exposition en 2013 à Lille. 

S'en suivront plusieurs, dans différents vernissages et événements de la métropole lilloise . Chaque exposition lui permet de se conforter dans l’idée que le public apprécie son travail, ce qui le pousse à peaufiner les détails de ses œuvres. Pointilleux, BOULAZ veut atteindre la perfection  dans ses premiers dessins hyperréalistes faits au fusain.

Il se rend compte que la rigueur qu'il s’impose est trop contraignante, et que le résultat ne transpire aucune émotion. Il change de style peu à peu, en utilisant différentes techniques, et en superposant des détails au feutre posca sur les couches de peinture acrylique. 

BOULAZ développe alors un mode d'expression bien à lui.

Il s'inspire de la Pop-Culture, de la musique, du cinéma, sans oublier la BD pour illustrer ses œuvres. Il peint ses toiles et transmet au spectateur l’intensité des sensations ressenties en écoutant de la musique, ou en voyant la scène d'un grand film. 

Profondément tourné vers l’Autre, et vers les autres, il est avant tout inspiré par l’émotion des corps, des visages, des « gueules »… Cherchant à sonder l’âme humaine, c’est dans les regards ou dans les postures de muses, de portraits célèbres, qu’il puise son inspiration.

BOULAZ voit son art comme un moyen de toucher le grand public : celles et ceux qui comme lui auparavant n’avaient pas pour habitude d’entrer dans un musée. Il ne voit pas son travail comme uniquement orienté vers les initiés, mais plutôt comme un moyen de ressentir des émotions au travers d’un personnage de film ou d'une légende de la musique. Ses goûts éclectiques reflètent définitivement ses inspirations.